Es una pena que el hormigón no arda

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Une archéologie émotionnelle et politique du capitalisme tardif : tourisme, ciment, expulsion, précarité, algorithmes et strates sociales. Un collage de mémoire, d’archives, de télétexte et d’un urbanisme qui ne accueille pas, mais repousse.

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Publication de 100 pages à couverture souple.

Version bilingue : basque/espagnol.

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(C’est dommage que le béton ne brûle pas)

À partir d’une recherche artistique menée dans le cadre de la bourse Desplazamenduak / Déplacements #1, Raquel Meyers construit un artefact critique sous la forme d’un essai élargi intitulé « Es una pena que el hormigón no arda » (C’est dommage que le béton ne brûle pas), avec les villes de Palma et d’Irun comme décors.

Une archéologie émotionnelle et politique du capitalisme tardif : tourisme, ciment, expulsion, précarité, algorithmes et strates sociales. Un collage de mémoire, d’archives, de télétexte et d’un urbanisme qui ne accueille pas, mais repousse.

Éditeur : Bitamine Kultur Elkartea
Direction éditoriale : Helga Massetani Piemonte
Auteure : Raquel Meyers
Texte de quatrième de couverture : Aleli Mirelman
Traductions : Belen Pikabea Loinaz
Conception et mise en page : Estudio Moriskette
ISBN 978-84-09-74979-9
Dépôt légal : LG D 00786-2025
Guipúzcoa, Pays basque
2025

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